Direction parlementaire



Vendredi, 14 mai 2010

Le Président de l’Assemblée de la République de Macédoine, à Stockholm

Aujourd’hui, à Stockholm a commencé la conférence des Président des Parlements des pays membres de l’Union Européenne et des pays candidats pour l’adhésion. La Session du matin a été consacrée au Traité de Lisbonne et la coopération interparlementaire. Le Président de l’Assemblée de la République de Macédoine, Monsieur Trajko Veljanoski a eu une intervention.  

Mesdames et Messieurs,

Je suis convaincu que l'avenir de l'Union européenne est fondé sur le Traité de Lisbonne. Dans ce contexte, bien sûr, les Parlements nationaux et le Parlement européen, sont les principales institutions à travers lesquelles le traité de Lisbonne et l'avenir de l'Union européenne seront réalisés au profit de tous. Le Traité de Lisbonne définit l’élargissement de l'UE comme une valeur fondamentale.

La République de Macédoine comme pays candidat  doit implémenter tous ces principes dont nous parlons ici aujourd’hui. Une des manières représente le renforcement c.à.d. le développement de la coopération parlementaire dans la région en prenant en considération que la République de Bulgarie et la Grèce sont déjà membres aux institutions européennes telles que l’Union Européenne et le Parlement européen. Bien entendu, les détenteurs de cette coopération devraient être les commissions parlementaires en tant qu’organismes spécialisés des domaines spécifiques. Ici je n’exclue pas les autres formes de coopération. Avec les nouvelles technologies de communication, dont nous allons discuter pendant la deuxième partie de notre conférence, la coopération peut être très intense et efficace.

Dans ce contexte, il est important de savoir comment définir le rôle futur de la COSAC. Pour nous en tant que pays candidat, la question de principe de subsidiarité est très importante, car ici est visible le conflit entre les intérêts nationaux et l'intérêt commun. Par conséquent, en tant que pays candidat, il est désormais nécessaire de renforcer les capacités du Parlement national, afin de répondre aux défis relatifs à notre adhésion à l’UE et de pouvoir remplir les obligations qui nous attendent et qui sont en relation avec le Traité de Lisbonne. En tant que Parlement de la République de Macédoine, nous allons apprendre d’implémenter tout ce qui est nécessaire.

Je vous remercie 

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